Les festivités ont débuté dès jeudi soir avec « Le crocodile de Paris » par l’atelier ado, « Chroniques des jours entiers et nuits entières » par l’atelier jeune et « Le fils » par les adultes.

Le public est déjà au rendez-vous. Les acteurs les enchantent par leur talent. Attention le ton est donné !

Les abonnés et partenaires sont tous conviés, le vendredi soir, à l’inauguration des festivités, dans la cour du théâtre. En sirotant un jus de fruits frais, chacun a pu admirer les œuvres de Michel Quilien au son du duo chic et choc Coin de Rue qui ont assuré l’animation musicale.

Puis les discussions s’étiolent pour laisser la place au groupe ado avec « Où va-t-on ? ». Dans l’immédiat, c’est direction la salle de spectacle pour un spectacle coloré !

S’en suivent les « Monologues et bilogues » de l’atelier jeune. Alors là, ouvrez bien les yeux : intrigues délirantes, absurdes ou folles, tranches de vie, parenthèse du quotidien… rires garantis ou remboursés ! Et les « Chroniques de jours entiers et nuits entières » clôt la soirée.

Le samedi débute avec une invitation à un éveil artistique lié à la pratique des arts de la scène… de leurs établissements scolaires à l’école du spectateur, les jeunes ont vécu un moment exceptionnel.

L’après-midi, ce sont les enfants qui occupent l’espace. Les débutants présentent « Le livre géant » : un simple livre peut receler plus de secrets que l’on ne se l’imagine ; « Faut croire au Père Noël » : l’homme en rouge n’est pas passé cette année, réaction immédiate des enfants… ; « Où sont les cadeaux ? » : le jour fatidique approche, le 25 décembre c’est la découverte tant attendue des cadeaux… mais où sont les cadeaux ?

Puis les adolescents prennent le relais avec « Pas de pitié pour les Barbies ! » : polar à la sauce enfantine sur fond d’interrogation ; « Le Crocodile de Paris », « Monologues et Bilogues », « Le fils » reviennent.

Cet après-midi de spectacle a été entrecoupée par le concert de Steel Band Macadam-Chrome et leur ambiance des Caraïbes, par Sébastien Guérin et l’art du jonglage autour d’une cuisine à déguster sur place.

Puis en fin de soirée, voici le spectacle nocturne de Lejo, tout droit venu des Pays Bas : un spectacle plein de doigté… et qui lui va comme un gant… étonnant et drôle à la fois… bluffant surtout !

Dernier jour, les dernières représentations attirent le public venu en masse durant ce week-end.

C’est au son de la fanfare festive Tuba or not — la musique sonne et les cœurs se réchauffent — que les spectateurs ont calmé leur impatience.

Pour les amateurs de sensations fortes, les marcheurs sur verre, jongleurs de feu… s’en sont donné à cœur joie pour des performances qui depuis le Moyen-Âge font le bonheur de la rue et de ses pavés.

Avec plus de 2 700 entrées public, amis du théâtre, invités, abonnés… ou passionnés ont encore fait de cette édition un rendez-vous local incontournable.

Sur ces agréables souvenirs, rendez-vous fin mai-début juin dans la cour du théâtre de Cordemais !